Amaury Bischoff
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samhDonc ? Chômage ?
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Pourquoi pas lui en ailier droit ?
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Peut être parce qu'il ne veut pas revenir ou bien parce qu'il n'est pas si bon que ça...
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Il est vraiment mal entouré ce gars-là...
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Bischoff n'ira pas aux Rangers
Pisté par plusieurs clubs de Ligue 1 et Ligue 2, le milieu de terrain d'Arsenal Amaury Bischoff, en fin de contrat avec les Gunners, ne rejoindra finalement pas les Glasgow Rangers: "Cela ne se fera pas. Je suis pisté par un club de Ligue 1 et un club portugais. Cela devrait se finaliser bientôt."
France Football -
Ca fait deux mois que ça doit se finaliser
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Bischoff à l'Academica Coimbra
Le jeune milieu de terrain franco-portugais Amaury Bischoff (22 ans) s'est engagé pour deux ans en faveur du club de Première Division portugaise de l'Academica Coimbra. Laissé libre par Arsenal où il n'a pas réussi à convaincre Arsène Wenger, le joueur était aussi pisté par Cologne et West Bromwich Albion.
Source : L'Equipe -
La gestion de sa carrière est quand même assez originale... voire pathétique. Attendons de voir, dans l'indifférence générale...
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Balèze quand même coinbra.
Il va nous faire une Aly ? -
Bayern, Arsenal, Coimbra... Pas mal, la gestion de carrière à la "Ricardo Faty"
Il va bientôt nous dire que ce n'est pas un recul dans sa carrière, mais que Coimbra était le club qu'il supportait étant gamin ? -
angstrom a écrit, le 2009-08-26 12:23:37 : Bayern, Arsenal, Coimbra... Pas mal, la gestion de carrière à la "Ricardo Faty"
Il va bientôt nous dire que ce n'est pas un recul dans sa carrière, mais que Coimbra était le club qu'il supportait étant gamin ?
Le club de son coeur (copyright Ginestet
)
Il me semble qu'il n'est pas passé au Bayern mais au Werden Bremen .... -
La suite de l'histoire, de l'ex-future grand espoir du football :D
Source
Interview mit Amaury Bischoff: Bei Arsene Wenger sagt man nicht nein!
04.10.2009 - 13:04 - Tobias Feldhoff
Als großes Talent wurde Amaury Bischoff 2005 von Racing Straßburg verpflichtet. Über die Jugend und die zweite Mannschaft von Werder Bremen sollte sich der Sohn einer portugiesischen Mutter und eines französischen Vaters an die Profis heranarbeiten. Eigentlich schien vieles darauf hinzudeuten, dass dieser Sprung klappen sollte.
Der heute 22-Jährige entschied sich jedoch 2008 kurzfristig für einen Wechsel zum FC Arsenal. Dort war der Plan ähnlich über das B-Team wollte der Elsässer den Anschluss an die Profi-Mannschaft der Gunners' schaffen. Nach nur einem Jahr warf Bischoff auch diesen Plan wieder über den Haufen und wechselte vor Beginn der Saison zum portugiesischen Verein Académica Coimbra. Über die Beweggründe seiner Entscheidungen sowie über die Folgen seiner langen Verltzung sprach der französische Korrespondent von FussballTransfers mit dem Mittelfeldspieler.
FussballTransfers: Zunächst, wie geht es Ihnen? Ist Ihre Verletzung mittlerweile vergessen?
Amaury Bischoff: Körperlich fühle ich mich jetzt gut. Ich muss jetzt spielen, um wieder in Schuss zu kommen.
FT: Warum wechselten Sie nach Coimbra in diesem Sommer?
Bischoff: Ich habe mich für Académica entschieden, weil ich ein Maximum von Spielen brauchte. Für mich war es eine gute Gelegenheit.
FT: Hatten Sie noch andere Angebote im Sommer?
Bischoff: Ich hatte viele Angebote aus Frankreich, England und der Türkei. Aber nach und nach haben einige Vereine sich zurückgezogen. Dann hat sich Académica deutlich interessiert gezeigt. Also entschied ich mich für Portugal, um mich weiter zu entwickeln.
FT: Nachdem Sie in Straßburg waren, gingen Sie zu Werder Bremen, als Sie 18 waren. Warum wechselten Sie so früh ins Ausland?
Bischoff: Nur weil ich spürte, dass Straßburg mir kein Vertrauen entgegenbrachte. Ich hatte Angst, dass ich im Elsass nicht Profi würde. Als Werder kam, habe ich nicht gezögert. Ich war dort sehr glücklich und ich habe viele gute Erinnerungen an diesen Verein.
FT: Warum sind Sie nicht bei Werder geblieben, Sie waren doch eine Säule im Reserve-Team?
Bischoff: Ja, wir können sagen, dass ich eine Säule in der Reserve war. Ich sah auch das Experiment Werder nicht als gescheitert an, aber wenn Arsene Wenger dich haben möchte, kann man nicht ablehnen.
FT: Warum hatten Sie keine Chance bei den Gunners?
Bischoff: Die Konkurrenz war sehr hart. Dennoch war ich sehr aktiv in der Mannschaft und hoch respektiert. (Rha le melon!! :)) ) Allerdings hatte ich nach der Rückkehr von meiner langen Verletzung zu wenig Zeit, um den Anschluss zu schaffen.
FT: Dank Ihrer Leistungen bei Arsenal haben Sie den Sprung in die portugiesische U 21-Nationalmannschaft geschafft. Hoffen Sie, den Sprung zur WM 2010 zu schaffen?
Bischoff: Natürlich denke ich an die WM. Ich glaube zu 100 Prozent daran, dass Portugal sich für die WM qualifiziert. Und ich werde versuchen, alle Spiele für Académica zu bestreiten. Warum sollte ich nicht einmal nominiert werden. -
Dans les DNA d'hier :
"Amaury Bischoff poursuit allègrement sa carrière professionnelle au Portugal. Passé de l'Academica Coimbra (L1), où il ne jouait pas, au Desportivo Aves (L2) durant la trêve, il espère fermement que son nouveau club continuera avec lui sa remontée au tableau de la 2e division, où il vient de passer de la 10e à la 5e place. En huit matches, l'ancien d'Arsenal a inscrit un but."
Le voilà maintenant en D2 portugaise... Où va-t'il s'arrêter ? :)) -
DNA du jour :
Colmar pourrait encore se renforcer avec l'arrivée d'Amaury Bischoff. Le Colmarien de naissance (24 ans), ancien du Racing, du Werder Brême, d'Arsenal et d'Academica Coimbra serait intéressé par rejouer pour son club formateur. Mais sur ce dossier, on n'en est qu'au stade des premiers contacts. -
Y a pas eu plus de cassage que cela sur la starlette? Je suis déçu :(
:D
Allez pour encore être plus mauvaise langue, il va bientôt déclarer : "je retrouve enfin mon club formateur, le club de mon coeur : le Sporting Logelbach"
(Je présente mes plus plates excuses au Logelbachois pour cette offense :D ) -
Envoûté par l'Allemagne
Plongé, à seulement 25 ans, dans sa huitième saison à l'étranger, Amaury Bischoff empile les buts (7) et les passes décisives (9) sous le maillot du SC Preußen Münster, en troisième division allemande. Le natif de Colmar entend s'établir durablement outre-Rhin et, si possible, y terminer sa carrière.
Les années défilent ,inlassablement, et Amaury Bischoff n'en finit plus de jouir de la carrière qu'il a patiemment construite, entre l'Allemagne, l'Angleterre et le Portugal. Du haut de ses 25 printemps, le milieu alsacien a renoué, l'été dernier, le fil de son histoire avec le football d'outre-Rhin. Il s'est engagé (jusqu'en 2014) en faveur de Münster, club de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie où évolue également son « compatriote » alsacien Clément Halet.
« Même en 3. Liga, chaque stade est une petite arène »
Depuis sa première expérience au Werder Brême (2005-2008) « À 17 ans, j'ai été acheté 300 000 € », rappelle-t-il au passage , le jeune homme cultivait une certaine nostalgie, entretenue par le souvenir obsédant d'un pays où le ballon rond fait presque office de religion. « En Allemagne, quand une rencontre est programmée à 14 ou 15 h, les premiers supporters arrivent à 8 h », sourit-il, attablé dans le café géré par son père, au marché couvert de Colmar. « Même en 3. Liga (*), chaque stade est une petite arène. On y trouve des magasins, des boutiques, et il n'y a pas un match à moins de 5 000 spectateurs. L'engouement et les infrastructures sont exceptionnels, c'est du top niveau. Si on compare avec la France, par exemple, ce n'est pas le même monde. »
Amaury Bischoff, lui, n'est jamais aussi à l'aise que lorsqu'il baigne dans un climat passionné. C'est du moins ce que suggèrent ses statistiques (7 buts, 9 passes décisives) « Les meilleures de ma carrière professionnelle », précise-t-il sous ses nouvelles couleurs.
« Faire le jeu, c'est ça que j'aime »
Münster occupe, pour l'heure, la deuxième place de la 3. Liga, ex aequo avec Karlsruhe, à quatre points du leader Osnabrück. « Personne ne nous attendait à ce niveau, confie le joueur haut-rhinois. Désormais, l'objectif a changé et nous visons la montée. De mon côté, je suis content car j'ai beaucoup de responsabilités. J'en ai besoin pour être performant. Je tire les coups francs, les penalties, les corners... Globalement, je touche énormément la balle. Déclencher les actions, délivrer la dernière passe, faire le jeu, c'est ça que j'aime. »
Au milieu des 10 000 inconditionnels recensés à chaque match en moyenne, les parents d'Amaury Bischoff sont régulièrement aux premières loges pour assister aux exploits de leur garçon (**). Les cinq heures de route qui séparent Colmar de la nouvelle destination du fiston ne sont pas de nature à les effrayer. Et pour cause, celui-ci évoluait au Portugal (***) ces trois dernières années.
« Une excellente expérience, se remémore fièrement le milieu alsacien. Je ne sais pas si c'est dû à la chaleur ou à la plage, mais l'ambiance est assez dilettante. Attention, ça reste du très haut niveau. J'ai pu affronter des clubs tels que le Benfica Lisbonne, Porto ou Braga, et des stars mondiales comme David Luiz, Falcao ou Hulk. »
Son entraîneur actuel, le Bulgare Pavel Dotchev, n'a pas attendu qu'Amaury Bischoff s'exile dans le sud de l'Europe pour déceler le potentiel du Colmarien. « Il me suivait depuis un petit moment et le projet qu'il m'a présenté m'a séduit. Le fait que je parle allemand couramment a facilité mon intégration, de même que la présence de francophones (****). »
Aucune envie de « revenir en France »
Le petit prodige alsacien, qui se targue de « parler quatre langues » (le français, l'allemand, le portugais et l'anglais), ne va pas jusqu'à lier son destin à celui de son coach, en fin de contrat en juin 2013, mais il avoue qu'un éventuel départ de son mentor le ferait réfléchir.
« Par contre, ce dont je suis sûr, c'est que je veux finir ma carrière en Allemagne, insiste-t-il. Il y a huit ans, on pouvait m'accuser de mettre les pieds n'importe où, mais je savais ce que je voulais et si c'était à refaire, je recommencerais. Ma trajectoire n'est pas ordinaire, mais je n'ai jamais eu peur. »
Et d'affirmer haut et fort : « Sauf bonne opportunité, je ne reviendrai pas en France. Le problème dans ce pays, c'est que les fans paient leur place sans certitude de prendre du plaisir. Ils voient essentiellement des 0-0, des 1-0... En Allemagne, les équipes ne calculent pas, jouent pour gagner et les gens ne s'endorment pas. Je me souviens d'une phrase de l'entraîneur du Werder Brême, Thomas Schaaf, qui disait tout le temps : '' Si on prend trois buts, ce n'est pas grave, il faut qu'on en marque quatre ''. C'est cette mentalité qui me plaît. »
Après une dizaine de jours en famille, à Colmar, où il a profité pleinement de la coupure de Noël « Ça fait du bien, je ne rentre que tous les six mois », lâche-t-il Amaury Bischoff s'apprête à rechausser les crampons.
Une semaine de stage à Malaga, du 6 au 13 janvier
Prévue mercredi, la reprise de l'entraînement précédera une mise au vert d'une semaine, du 6 au 13 janvier, à Malaga (Espagne).
« En 3. Liga, dix-huit équipes sur vingt partent en stage, ce qui est impensable en France, à un niveau comme le National, où même une excursion de trois jours, pas très loin, n'est jamais simple... Je le répète, mais l'Allemagne est largement en avance. »
Entre Amaury Bischoff et son pays d'adoption, l'histoire d'amour semble ne s'écrire que pour le meilleur. Elle se conjugue, surtout, au plus-que-parfait et au futur.
(*) La troisième division allemande
(**) Échaudé par quelques expériences peu concluantes, Amaury Bischoff a même choisi son papa comme agent
(***) À l'Académica de Coimbra (2009-2010) et à Aves (2010-2012), après un court séjour à Arsenal (2008-2009)
(****) Le défenseur français Clément Halet (28 ans), né à Strasbourg, et le Sénégalais Babacar Ndiaye, entraîneur-adjoint du Münster
DNA -
Ah le retour de M. Melon! Toujours aussi ÉNORME! (Lui et son melon bien sûr)
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Quel joueur surcoté et quel pauvre type franchement...
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Je ne vois pas ce qui vous gêne dans ces propos
Les mêmes tenus par D LEDY l an dernier auraient déclenché l enthousiasme -
Il n'y a rien de choquant dans ses propos, on voit juste une personne qui aime le beau football et qui profite de sa carrière à fond. Moi il me plaît bien.
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Rien de choquant dans ces propos , mais une certaine réalité se dégage , notre cher pays "la France" n'est de loin pas un grand pays de football .Mais ça on le savait déjà.
Je lui souhaite pleine réussite . -
Ce qui me fait rire chez ce mec, c'est que c'est l'apprenti mercenaire par excellence, il a tous les défauts dont j'ai horreur dans le foot moderne, il n'a encore rien prouvé et ne prouvera certainement jamais rien, mais il se prend tout de même pour une star : (Se prendre pour une star est l'hypothèse de base)
- 1er défaut : impatience/tout lui est dû : j'ai 16 ans, je joue au Racing et je devrais donc déjà jouer en équipe 1, je signe donc comme une petite pute au Werder de Brême.
- 2ème défaut :appât du gain/pas de reconnaissance : je joue dans le club de mon coeur c'est trop classe, sauf si bien sûr un club d'un meilleur standing me contacte et me paye plus grassement (RCS, Werder Brême, Arsenal...) Ce club deviendra donc le club dans lequel j'ai toujours rêvé d'évoluer étant jeune (voir les déclarations à chaque changement de club
)
- 3ème défaut : Pas de remise en cause : au final je fais une carrière moyenne, je n'ai toujours rien prouvé, mais j'arrive encore à me la jouer ( "j'ai joué en D2 portuguaise (et encore je n'étais pas titulaire) mais je préfère dire que j'ai joué contre le Benfica ou le Sporting...)
- 4ième défaut : Énorme Melon: je préfère jouer en D3 allemande qu'en L1 française, ce n'est pas ce qu'il dit, mais ça y ressemble...
- 5ième défaut : 7 clubs à 25 ans!!
Edit j'allais oublier
- 6ième défaut : comme je ne peux pas jouer avec l'EdF, je deviens portuguais, d'ailleurs c'est plus classe, par contre j'ai un nom bien alémanique
Du grand Art!
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cricriex67 a écrit, le 2013-01-01 17:13:03 : Rien de choquant dans ces propos , mais une certaine réalité se dégage , notre cher pays "la France" n'est de loin pas un grand pays de football .Mais ça on le savait déjà.
Je lui souhaite pleine réussite .
Pareil,rien de particulièrement choquant.
Je pense que Preussen n'a rien à envier a ETG par exemple pour la parenthèse (+) -
Je pense qu'il est plus difficile pour un troisième couteau d'être titulaire à ETG qu'en 3. Liga par exemple pour la parenthèse (+)
Quand j'ai vu Bischoff en une (!) des DNA, j'étais partagé entre crise de rire et envie de
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C'est vrai que l'interview ouais bof ,et alors la 1ere page des Dna ( bon je sais bien que parfois en fin d'année on sait pas quoi foutre dedans!) , moi je sais beaucoup on du se dire c'est qui celui -la?
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